l envers du décor piece de theatre

Aujourdhui, le théâtre du casino d'Enghien et ses étonnants cintres en bois qui permettent de changer les décors. « Le Parisien » vous invite à Lanouvelle comédie de Florian Zeller, au Théâtre de Paris avec Daniel Auteuil et Valérie Bonneton . Continuer la lecture Spectacle terminé depuis le 08 mai 2016 Prix tous frais inclus Photos & vidéos < > L'envers du décor De Florian Zeller Mise en scène Daniel Auteuil Avec Daniel Auteuil , Valérie Bonneton , François-Eric Gendron , Pauline Lefevre 97avis de spectateurs sur L'envers du décor (Théâtre de Paris). Un bon moment de théâtre Merci. Par contre et comme dans la majorité des théâtres il faisait trop chaud et cest très inconfortable quand on mesure plus de 180. Lévénement L'Envers du décor est référencé dans notre rubrique Pièces de théâtre. Derniers avis. Il n'y a pas encore d'avis sur L'Envers du décor ! Donner mon avis. Principaux artistes liés à l'événement . Marion Denys: au théâtre, Marion Denys est à l'affiche de Rostam et Esfandiâr (Théâtre de l'Épée de Bois) en 2014, La Tragédie de Siâvosh (Théâtre de l'Épée de Théâtre l’envers du décor – 1ère partie En ce qui me concerne le rêve a duré 3 ans, oui je rêvais de faire du théâtre mais à mon âge comment faire ? Et un jour le centre social où j’étais bénévole a décidé de donner des cours gratuits avec une professionnelle, actrice et metteur en scène. Elizabeth DAMIAN. La voici avec le célèbre humoriste Jango Edwards que j’ai nonton ip man 4 2021 full movie. critique Noises Off Texte Michael FraynMise en scène Jacob Tierney Au Centre Segal, jusqu’au 19 février3 étoiles et demie C’est un véritable tour de force que la distribution de la pièce Noises Off exécute, ces jours-ci, au Centre Segal. Cette comédie populaire du Britannique Michael Frayn, créée en 1982, y est à l’affiche en anglais. Seulement à Broadway, Noises Off a déjà fait l’objet de trois productions. Au grand bonheur du public. Cette pièce est donc un crowd pleaser », car le plaisir des acteurs sur scène se propage rapidement dans la salle. Difficile de ne pas éclater de rire durant la représentation, surtout au deuxième acte. Noises Off reste une farce légère, mais diantrement efficace, sur les coulisses du métier. Théâtre dans le théâtre, on suit le travail des artisans d’une comédie de second ordre qui partira en tournée premier acte, la troupe d’acteurs est en train de répéter les derniers détails de la pièce, à 24 heures de la première devant public, dans un théâtre de province. Visiblement, les comédiens ne sont pas prêts… Alors, le metteur en scène tente d’éviter le deuxième acte, un mois plus tard, nous nous retrouvons dans l’envers du décor, pour mieux assister à la catastrophe à venir, car la guerre est déclarée au sein de la distribution. À l’acte final, on rejoue la farce du point de vue de la salle, dans une livraison totalement chaotique. À bout de souffle, chacun tentera de se sauver de ce naufrage. Mais, c’est trop grand vaudeville !Au sommet de cette distribution sans failles, mentionnons Martha Burns, une actrice très douée elle a joué plusieurs classiques au Festival de Stratford, dans le rôle de Dotty, une bonne au bord de la crise de nerfs. Andrew Shaver Reign, Utopia incarne un hilarant Gary, l’acteur qui fait tout dérailler en coulisses, en gardant sa superbe sur la scène. Il y a aussi le charismatique David Julian Hirsh Weeds dans le rôle de Lloyd, un metteur en scène imbu de sa personne, mais aussi complètement irrité et du grand vaudeville mis en abyme avec doigté par le metteur en scène Jacob Tierney. La pièce exige des acteurs une prouesse physique et une finesse d’exécution dans le jeu. Chapeau ! Bien que le texte se répète, et que la finale soit escamotée, l’auteur a su décortiquer le genre, tout en le respectant. Dans le fond comme dans la forme. Les portes du décor claquent au moins 360 fois en 90 minutes, et on prononce le mot sardine » pas moins de 228 fois !Personne ne boudera son plaisir. Si vous aimez voir jouer des acteurs dans tous les sens du terme sur scène, cette pièce vous plaira. Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+. CARTES & MENUS FORMULE DEJEUNER A L’ARDOISE Plat 17 € Entrée + Plat OU Plat + Dessert 22,50 € Entrée + Plat + Dessert 27,50 € MENU du SOIR THEATRE Entrée/plat ou Plat/dessert 25,90€ ENTREES Terrine de Campagne Carpaccio de tomate au pesto et parmesan 16 mois Entrée à l’ardoise PLATS Tartare de bœuf garni de frite et de salade Le “So British” Fish & Chips Raviole du Dauphiné, crème de ciboulette et parmesan Le plat à l’ardoise DESSERTS La tarte citron meringuée Traditionnelle crème brûlée Desserts à l’ardoise ENTREE/PLAT/DESSERT 29,90 € A DEUX … LA PLANCHE DE CHARCUTERIE Terrine de Campagne, Rosette, Jambon de Pays 26,00 € LA PLANCHE MIXTE Planche de charcuterie + Saint Nectaire, Brie et Cantal 31,00 € Carpaccio de tomate / 8,00 € au pesto et parmesan de 16 mois TERRINE DE CAMPAGNE / 7,90 € “Classic” Oeuf Mayonnaise / 7,90 € LA SOUPE DE MAMIE / 7,90 € selon la saison Beignets de Mozarrela Panés / 9,00 € Pièce du boucher / 19,50 € sauce bearnaise, garni de frite et salade Salade de filet de poulet grillé / 17,50 € Façon “César” ALLER / RETOUR DE BOEUF / 19,00 € accompagné de sa salade Tagliatelles au pesto, burrata et huile de truffe / 18,00€ Escalope de thon frais et ratatouille provençale / 19,50€ Le “so british” fish & chips / 17,50 € ENVIE D’AUTRE CHOSE Pour les tartines et le burgers / Pain artisanal de la maison “HECHT” LE CHEESEBURGER € le spécial de l’Envers Tartine Italienne / 18,00 € Jambon de Pays, Mozarella, Tomate et Pesto Tartine au saumon fumé / 19,50 € et crème de ciboulette TARTINE DE CHÈVRE AU MIEL / € ASSIETTE DE FRITE / 7,50 € Dessert … LA TOUCHE FINALE Traditionnelle crème brûlee / 8,00 € La tarte citron meringuée / 8,00 € Le sorbet mandarine / 5,50 € KFgato / 5,50 € La mousse au chocolat et spéculosde l’envers / 8,00 € … LA TUERIE ! Dès le Mardi 17 Janvier au 12 Février 2023 L’Envers du décor, une comédie de Florian Zeller à découvrir du 17 janvier au 12 février 2023 au Théâtre Le Crève-Coeur, couples se livrent à cœur ouvert, mais n’en pensent pas finesse, Zeller les confronte à la réalité du temps qui passe et à l’envie de fuir la routine. Si à Genève, nous avons Joël Dicker, à Paris ils ont Florian Zeller. Un auteur à succès longtemps décrié et qui, depuis, a accumulé les prix. Un Interallié en littérature, un Molière au théâtre et, évidemment, une moisson de récompenses cinématographiques pour la version filmée de sa pièce Le Père The Father.Homme de théâtre avant tout, Zeller est connu pour sa trilogie familiale La Mère, Le Père et Le Fils, mais aussi pour sa sagacité à s’introduire dans les interstices de l’ Vérité, Une heure de tranquillité ou L’Envers du décor peuvent en témoigner. Autant de pièces qui interrogent l’humain dans son plus simple cette dernière, écrite à l’origine pour Daniel Auteuil, un couple en invite un autre à dîner. Il y est question d’amour et de trahisons, de vieilles amitiés et d’une nouvelle conquête. L’élément parfait pour un vaudeville à le premier duo brille par sa stabilité, le second revendique sa liberté renouvelée. Quand l’un parle de raison, l’autre vit de passion. Mais comme tout ne se raconte pas à table, beaucoup se déroule en aparté, dans la tête des personnages, mettant ainsi à nu les pensées de exercice périlleux, mais un classique théâtral savoureux. Florian Zeller, texte - Didier Carrier, mise en scène Avec Vincent Babel, Isabelle Bosson, Juliet Kennedy, Pietro Musillo Video Pour s’y rendre Agenda Cela pourrait aussi vous intéresser Découvrez aussi... vous propose une sélection d’événements à découvrir. Vous pouvez utiliser la recherche avancée pour visualiser plus d’événements. Musique Théâtre Danse Autres Enfants Florian Zeller veut-il concurrencer Éric Assous en étant présent sur les scènes parisiennes avec trois spectacles au moins. Le Mensonge continue son parcours au théâtre Edouard VII, sa première pièce L’Autre est reprise avec une belle équipe au Poche Montparnasse et sa dernière comédie débute avec fanfare et trompettes au Théâtre de Paris. Daniel Auteuil revient sur la scène où il a triomphé avec Nos femmes. Nous avons tous un jour ou l’autre rêvé de connaître les pensées des autres. De percer leur intime nébuleuse. Entre ce que nous disons et ce que nous pensons, il y a parfois un abîme. Daniel Daniel Auteuil est inquiet, perturbé. Comment avouer à Isabelle, son épouse, qu’il a invité à dîner Patrick, son meilleur ami, avec sa nouvelle compagne. Le problème est la nouvelle compagne. Elle est persona non grata chez eux depuis que Patrick François-Éric Gendron a abandonné sa femme Laurence pour la jeune Emma. Isabelle Valérie Bonneton est la meilleure amie de l’ex. Donc elle déteste la nouvelle venue et en veut viscéralement à Patrick d’avoir abandonné Laurence, cette femme admirable. Mais Isabelle est intelligente. Elle est investit d’une mission venger son amie. C’est une mission corporative », ne pas rendre la vie facile à ces hommes qui abandonnent leur compagne de toujours pour se lover dans les bras de jeunes filles. Elle accepte pour mieux combattre l’ennemie sur son terrain. Daniel est tendu, inquiet, il connaît sa femme et il craint que la moindre étincelle signe le début des hostilités. Patrick arrive, épanoui dans sa nouvelle vie avec Emma, superbe jeune femme. Daniel est subjugué. Isabelle est en mode close-combat. Emma est sur la défensive. Patrick au bord de son nuage, ne comprend pas tout de suite que ce dîner, entre amis, ne sera pas si amical que ça. Si les apartés sont choses communes au théâtre, les pièces qui utilisent ce procédé tout du long sont rares. Florian Zeller se livre à un exercice de haut vol, il tient son pari jusqu’au bout. Le paradoxe entre la pensée et la parole crée des situations comiques portées à leur paroxysme par ce quatuor de choc. Bien sûr on pourra objecter que l’auteur pousse les ressorts classiques du théâtre de boulevard. Ne boudons pas notre plaisir. Florian Zeller est un jeune auteur dont le talent multiforme nous ravit. Le Père ou La Mère sont des pièces grises et noires, pointant sur des sujets non seulement de la famille, mais de la société, le jeu de l’amour avec l’Autre et, peut-être, le début d’une série sur les sept péchés capitaux avec La Vérité et le Mensonge. L’Envers du décor offre aux comédiens des partitions de soliste. Jouer l’indicible, jongler avec les pensées pas toujours avouables, voire grivoises de Daniel et les paroles bien bardées par la bonne éducation d’Isabelle, constituent un exercice de trapéziste du verbe. Toutes les pensées des protagonistes nous sont connues. Au début, lorsque Daniel tente d’annoncer à sa femme cette invitation, il ressemble à un sale gosse qui veut avouer une bêtise à sa mère, pardon à sa femme. Elle le voit bien venir. Il tremble, pourvu qu’elle ne fronce par trop les sourcils. Signe avant coureur d’un orage domestique. Valérie Bonneton fronce très bien les sourcils. Elle peut être terriblement dangereuse. Elle tonne intérieurement, telle une tigresse, elle laisse venir l’agneau Daniel pour donner le coup de griffe. François-Éric Gendron, alias Patrick, est tellement heureux qu’il ne peut pas imaginer le raz de marée qu’il provoque. Tous les hommes de la salle, comprennent parfaitement Patrick, dès l’apparition d’Emma, la belle Pauline Lefèvre, l’évidence de la situation leur saute aux yeux ! Le duo dans la cuisine entre Emma et Daniel est un grand fou rire ! Daniel Auteuil porte à merveille ce rôle taillé sur mesure pour lui. Il nous communique sa joie de jouer cette brillante comédie. Sa mise en scène simple efficace, tend toujours à servir le texte. Daniel Auteuil est ébouriffant de drôlerie. L’Envers du décor une comédie de Florian Zeller Mise en scène Daniel Auteuil Avec Daniel Auteuil, Valérie Bonneton, François-Éric Gendron, Pauline Lefèvre Théâtre de Paris 15, rue Blanche 75009 Paris Mise à jour le vendredi 6 juillet 2007 à 14 h 12 Josée Bilodeau est chroniqueuse à Radio-Canada. Théâtre d'été Une critique de Josée Bilodeau Le Petit Théâtre DuNord célèbre ses 10 ans. Depuis ses débuts, la troupe des Laurentides, la seule de la région à se consacrer uniquement au théâtre de création, a gagné un public fidèle, et ce n'est pas seulement pour la beauté du parc du Domaine vert Mirabel où elle se produit tous les étés. C'est aussi pour l'originalité de ses propositions théâtrales. Le Petit Théâtre DuNord a en effet contribué au renouveau du théâtre d'été avec des comédies plus fines et moins superficielles que celles proposées en général dans ce créneau. Pour cet anniversaire, les quatre membres fondateurs Luc Bourgeois, Louise Cardinal, Sébastien Gauthier et Mélanie St-Laurent sont réunis sur scène pour jouer trois courtes pièces signées Fanny Britt, Nico Gagnon et Stéphane Hogue, dans une mise en scène de Philippe Lambert. C'est un vrai plaisir de voir évoluer sur scène ce quatuor d'acteurs, particulièrement Luc Bourgeois, qui donne à chacun de ses personnages une couleur singulière. Le défi proposé aux dramaturges était celui-ci s'inspirer du décor de Jonas Veroff Bouchard pour écrire chacun une pièce d'environ une demi-heure. Un défi qu'ils ont relevé avec originalité et intelligence, et même s'ils ont tous pondu des histoires sur le couple et les rapports amoureux, les trois univers se révèlent bien distincts. Une scénographie en miroir Photo François Larivière Sébastien Gauthier, Mélanie St-Laurent et Louise Cardinal Jonas Veroff Bouchard a conçu un décor de salle d'attente. En fait, il s'agit de deux salles d'attente anonymes contiguës, reflet exact l'une de l'autre. Dans les trois courtes pièces, les auteurs ont mis en scène un lieu réel et un lieu fantasmé, permettant, du coup, de très belles envolées dans l'imaginaire. Fanny Britt, avec le mordant et le regard pénétrant sur les rapports humains qu'on lui connaît, a imaginé, pour Les dromadaires, un premier rendez-vous amoureux dans la salle d'attente d'un petit aéroport où on offre des sauts en parachute. Mais entre le fantôme d'une relation passée et le fantasme d'un amour idéal, la rencontre est sérieusement mise en péril. Dans Le sarrau, Stéphane Hogue explore d'autres types de fantasmes, troublants, inquiétants et hilarants. La salle d'attente d'un cabinet médical devient le lieu de cauchemars provoqués par des pulsions inavouables. Cette pièce plaira assurément aux amateurs de films d'horreur de série B. Chaud devant! de Nico Gagnon, exploite davantage les rouages du thriller amoureux. Les deux salles deviennent les salons de deux appartements de tours anonymes qui se font face et où se déroule une inquiétante chasse à l'image, un jeu de miroirs qui nous tient en haleine du début à la fin. Soulignons la sublime finale de cette pièce, qui clôt la soirée en beauté et en humour. Photo François Larivière Luc Bourgeois et Sébastien Gauthier Après Les envahisseurs il y a deux ans, une pièce à relais écrite par cinq auteurs, Semi-détaché vient confirmer que les défis réussissent très bien au Petit Théâtre DuNord. Semi-détaché. Trois courtes pièces de Fanny Britt, Nico Gagnon et Stéphane Hogue. Mise en scène de Philippe Lambert. Avec Luc Bourgeois, Louise Cardinal, Sébastien Gauthier et Mélanie St-Laurent. Au parc du Domaine vert Mirabeldu 28 juin au 25 août À lire aussi

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